Thérèse Brenet's work for mandolin, viola, celtic harp and guitar Ophiucus has just been publisehd by Musik Fabrik
This title, which refers to a giant planet discovered by astronomer Donald McCarthy of the University of Arizona, expresses Thérèse Brenet’s favorite image of the infinity of Time and Space. Planet V. P.8B is 21 light-years away from Earth ; such a distance along suffices to encourage one to reflection.
This cosmic reverie is emphasised by a fragment of Nietzsche’s poem Nocturne, the recitation of which may be inserted by the instrumentalists over the playing of the music.
“Innumerable suns gravitate in deserted space; they speak through their light to all in the darkness. But I live in my own light. I drink the flames which shoot forth from me”
The reverie is also expressed by the absence of a conclusion, characteristic of the work. Thérsèe Brenet has deliberately omitted the double bar which traditionally closes a musical piece ; the work is not brought to a conclusion - it still resonates while fading away in an endless perdendosi suggesting the idea that we would find these fugitive harmonies in the cosmos, if we could pursue the speed of sound...
L'&Oelig;uvr de Thérèse Brenet pour mandoline, alto, harpe celtique et guitar, Ophiucus vient d'être éditée par Musik Fabrik
Ce titre qui rappelle la découverte par l’astronome Donald McCarthy (University of Arizona) d’une planète géante dans la constellation d’Ophiucus, traduit l’image du prédilection que Thérèse Brenet se fait de l’infini du temps et de l’espace. La planète V.P. 8B est à 21 années-lumière de la Terre ; et ce seul effet de distanciation peut suffire à nous faire rêver. .
Cette rêverie cosmique se trouve ici soulignée par le fragment d’un poème de Nietsche, Nocturne, dont la récitation par les instrumentistes peut être inéérée sur la musique.
“D’innombrables soleils gravitent dans l’esapce désert ; ils parlent par leur lumière à tout ce qui est sombre [...]. Mais je vis dans ma propre lumière, je bois les flammes qui jaillissent de moi...”
Elle est exprimée aussi par l’absence de conclusion qui caractérise lœuvre et c’est volontairement que Thérèse Brenet n’a pas mis la double barre qui clôt traditionnellement une pièce musicale : lœuvre n’est pas achevée, elle résonne encore en s’éloignant dans un perdendosi sans fin, suggérant l’idée que, si nous pouvions les poursuivre à la vitesse du son, nous retrouverions en quelque point du cosmos ces fugitives harmonies..
Libellés : Celtic Harp, Guitar, mandolin, Ophiucus, Thérèse Brenet, viola